La Paella : un outil marketing ?

Le mot Paella est un mot valencien issu du latin « patella » signifiant « petit plat »

Ce plat internationalement connu, vient en fait de la région de Valence où l’on cuisina le riz cultivé dans la lagune voisine (l’Albufera) dès le XVIIIe siècle.

Suite à la guerre civile, Franco eu pour objectif de développer le tourisme en Espagne. Il fallut ainsi trouver un plat national emblématique. On choisit « artificiellement » la paella car il s’agissait d’un plat peu coûteux, aux accommodements simples et surtout aux couleurs de l’Espagne (poivrons rouges et riz jaune)…

La paella reste encore de nos jours, l’emblème de la gastronomie espagnole dans le monde.

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Pleurer comme une Madeleine…

Cette expression vient de la bible. Marie de Magdala (autrement appelée Marie Madeleine) était une ancienne prostituée qui, pour se faire pardonner de ses pêchés, se jeta aux pieds de Jésus et pleura énormément alors qu’elle se confessait.

C’est pour cela qu’aujourd’hui encore on utilise l’expression « pleurer comme une madeleine ».

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Source : http://www.linternaute.com

Pourquoi dit-on Cousin « Germain »

Le mot Germain vient ici du latin « Germanus » qui signifie frère.  Il désigne les cousins dont les parents sont frères ou sœurs (ces cousins ont ainsi des grands-parents en commun).

Il est intéressant de remarquer qu’en Espagnol, on désigne ce lien de parenté par l’expression « Primo-Hermano » (Cousin-Frère).

Les cousins issus de Germains sont des personnes qui ont des Arrières-Grands parents en commun. Exemple : Vos enfants et les enfants de vos cousins (lien de parenté du troisième degré).

 

Bruel Semoun

 

 

Source : http://www.commeaucinema.com/

Pourquoi parle-t-on de navet pour désigner un mauvais film ?

Trois théories s’opposent pour expliquer ceci :

– Le navet est un légume qui n’est ni salé, ni sucré. On peut donc le caractériser d’insipide. On l’aurait ainsi utilisé pour parler d’un film sans saveur…

– Le navet a longtemps était un légume très répandu présentant très peu de valeur. On l’aurait ainsi utilisé pour désigner un film sans valeur…

– Cette expression daterait du 18e siècle et ferait référence à une statut de la Rome antique qui fût longtemps une référence artistique mais qui, étant donnés les progrès techniques au fil des années, fût caractérisée de « navet épluché » par les étudiants parisiens (couleur blanche et pas de musculature). Par la suite on aurait étendu cette expression à la peinture puis au septième art.

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Le mot SABOTAGE

Le mot « sabotage » vient du mot sabot. Il est utilisé dès le XVIe siècle, époque à laquelle on frappait du pied avec ses sabots pour couvrir la voix d’un discours avec lequel on n’était pas d’accord.

Au XXe siècle il a été associé aux ouvriers qui, voulant lutter contre le patronat, jetaient leurs sabots dans les machines (usine ou ferme) pour les rendre inutilisables et ainsi ne pas travailler.

C’est ainsi qu’est née l’idée de sabotage.

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Source : Wikipedia

Spéciale Dédicace : Maxime The Fat

Invention du LSD par erreur…

Albert Hofmann est un chimiste suisse né le 11 Janvier 1906 et mort en Avril 2008 à l’âge de 102 ans. Lors de ses recherches pharmaceutiques sur la molécule du diéthylamide de l’acide lysergique (LSD) pour le compte du laboratoire Sandoz, Hoffman ressent des effets bizarres « J’étais pris d’une agitation extraordinaire avec de légers vertiges. Dès mon arrivée à la maison, je me suis couché, sombrant dans un état non désagréable, comme si j’avais été intoxiqué, avec mon imagination très stimulée. Comme endormi, les yeux clos (la lumière du jour m’était très désagréable), je percevais un flot ininterrompu d’images fantastiques aux formes extraordinaires, et aux couleurs comme produites par un kaléidoscope. Au bout de deux heures, cet état s’est estompé. »

Hofmann vient de vivre le premier trip au LSD (il se serait frotter les yeux avec du LSD sur les doigts…)

Trois jours plus tard il décide d’ingérer une quantité plus importante pour conforter sa première expérience.

Ce deuxième « trip » sera celui qui restera dans les annales (la dose s’avèrera être en fait extrêmement forte).

Il est pris de forts vertiges et éclate de rire sans raison. Il décide de rentrer en vélo avec son assistant. Il a alors l’impression de rouler très lentement alors qu’il va très vite. Dès son arrivée à la maison il demande un médecin et du lait…

Il n’arrive pas à reconnaître la voisine qui lui apporte 2 litres de lait. « Ce n’était plus Mme R., mais plutôt une sorcière malveillante et insidieuse qui arborait un masque coloré »

Le médecin traitant ne trouve rien de bizarre lors de sa consultation mis à part les pupilles fortement dilatées de Mr Hofmann.

Après plusieurs heures, Hofmann redevient calme et s’endort paisiblement.

Hoffmann a demandé la légalisation du LSD jusqu’à la fin de ses jours, persuadé que ce produit pourrait aider les dépressifs à guérir.

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Source : http://www.lepoint.fr

Mikhaïl Kalachnikov

Mikhaïl Kalachnikov est né le 10 novembre 1919 dans une famille pauvre de Sibérie. Il entre dans l’armée à 19 ans et il réalise ses premières ébauches d’arme suite à une blessure de guerre (bataille de Briansk contre les allemands en 1941) qui l’oblige à rester alité. En 1947 il invente le AK47 (Avtomat Kalachnikova) tristement connu sous le nom de « Kalachnikov »; qui sera par la suite l’arme d’assaut la plus vendue au monde.

Mikhaïl Kalachnikov a aujourd’hui 94 ans et vit dans la pauvreté et l’indifférence. Il habite un appartement 3 pièces qui lui est fourni gratuitement par le gouvernement Russe en remerciement de ses bons services…

Citation de Mikhaïl Kalachnikov: « Ce sont les Allemands qui sont coupables du fait que je suis devenu un fabricant d’armes. Sinon, j’aurais construit des machines agricoles. (…) Si on me demande comment je peux dormir calmement sachant que mes armes ont tué des millions de gens, je réponds que je n’ai aucun problème de sommeil, ma conscience est nette. J’ai construit des armes pour défendre ma patrie. »

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Battre quelqu’un à Plate Couture

Cette expression date du XVIIIe siècle et fait référence à l’épaisseur des tissus utilisés pour confectionner les vêtements. Ceux-ci étaient tellement épais que l’on devait les battre avec une latte afin d’aplatir les ourlets.

Désormais on l’utilise pour décrire une victoire « écrasante »

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Source : http://www.linternaute.com/

 

 

 

 

Historique de MaxSea International

Brice Pryszo est né à Bayonne le 12 Mars 1952. Dès son plus jeune âge il découvre les joies de la navigation au Pays Basque.

Poussé par cette passion, il participe à la création de la filière d’architecte naval lors de son passage à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris (1972)

Dès la fin de ses études, de retour dans son pays basque natal, il débute sa carrière professionnelle et dessine alors ses premiers bateaux.

L’avènement de l’informatique personnelle lui fait prendre conscience dès 1984 du gigantesque potentiel technologique à venir. C’est tout naturellement qu’il décide de se lancer dans une nouvelle aventure professionnelle associant les secteurs de la Navigation Maritime et de l’Informatique ». Il crée ainsi, le 3 Janvier 1985, la société « Informatique et Mer ».

Les premiers investissements de la société furent l’achat du troisième Macintosh 128k vendu en France au printemps 1984 (en complément du Macintosh Lisa pour le développement). Ces machines révolutionnaires lui permettent de développer un premier prototype du logiciel MACSEA qui sera testé à bord de « Crédit Agricole » en 1985 puis très vite par Philippe Poupon et Eric Tabarly. Le logiciel MACSEA devient peu à peu une référence dans le secteur de la voile de haute compétition.

A la suite de ces premiers succès commerciaux, l’entreprise se tourne vers le secteur de la pêche professionnelle en travaillant en collaboration avec les pêcheurs du port d’Hendaye (notamment Mr Blanchot). Le défi consistant à installer un ordinateur sur un navire de pêche en 1986 était de taille ! « Informatique et Mer » réussit ce pari et poursuit naturellement sa croissance en équipant des navires de pêche à l’international (notamment en Europe du Nord).

Entre 1996 et 1999, étant donné l’hégémonie de Microsoft Windows dans le paysage informatique mondial, MACSEA abandonne la plateforme Mac et devient MaxSea.

« Informatique et Mer » deviendra « MaxSea International » en 2001 afin de se tourner encore plus vers l’étranger en se dotant d’un nom plus « exportable ».

En 2013, MaxSea revient à ses premiers amours Apple en lançant sa première Application MaxSea pour  IPAD.

L’aventure continue…

http://www.maxsea.com

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