L’Aspartame : Découverte accidentelle…

L’aspartame est un édulcorant artificiel découvert en 1965 par James Schlatter, chimiste de la société G. D. Searle & Company. A l’époque, le pouvoir édulcorant de ce produit était méconnu. C’est en s’humectant le doigt pour saisir une feuille de papier que James Schlatter découvra son goût sucré !

Cette découverte fût un grande surprise car les deux composés principaux de l’aspartame ne sont absolument pas sucrés (l’acide aspartique et la phénylalanine).

L’Aspartame a révolutionné l’industrie agroalimentaire en permettant dès 1981 de lancer des produits dits « sans sucre ».

Ce produit est autorisé dans 90 pays et utilisé dans près de 5.000 produits alimentaires (chewing-gum, sodas etc.). Cependant il existe une controverse concernant l’aspartame, il serait cancérigène et pourrait provoquer des naissances prématurées. C’est la conclusion de deux études récentes réalisées par le Réseau environnement santé (RES)

aspartame

HARIBO et les Fraises Tagada

Haribo est une marque allemande de confiserie. Inventée en Allemagne en 1920 par le confiseur Hans Riegel (1893-1945), elle tient son nom de son inventeur et de sa ville d’origine Bonn : HAns RIegel BOnn. Son premier produit commercialisé à grand succès fut l’Ours d’Or, bonbon gélifié en forme d’ourson.

Le nom de fraise Tagada vient quant à lui d’une proposition du directeur commercial de l’époque qui aurait entendu dans un cabaret la rengaine « tagada tsoin tsoin » et qui fût par la suite acceptée par un vote en assemblée.

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Source : http://www.wikipedia.fr

Ode à la joie – Flashmob Banco Sabadell

L’Ode à la joie — appelée également Hymne à la joie — est un poème de Friedrich von Schiller écrit en 1785. Il est surtout connu comme finale du quatrième et dernier mouvement de la 9e Symphonie de Beethoven, devenu l’hymne officiel de l’Union européenne.

Le poème célèbre l’idéal de l’unité et de la fraternité humaines (« Millions d’êtres, soyez tous embrassés d’une commune étreinte ! »). Son titre original est An die Freude, mais il est souvent appelé Ode an die Freude. Schiller avait initialement écrit un poème à la liberté (Freiheit) mais vu les conditions politiques de l’époque, il a finalement préféré en faire un poème à la joie.

L’introduction instrumentale de ce mouvement a été adoptée en 1972 par le Conseil de l’Europe comme hymne européen, puis en 1985 comme hymne officiel par les chefs d’État et de gouvernement de l’Union.

La Banco Sabadell a réalisé un Flashmob particulièrement émouvant atour de cette oeuvre (Mai 2012). Frissons garantis !!!

Source : Wikipedia

Origine la marque ADIDAS

Cette marque mondialement connue a été déposée en Août 1949 par Adolf Dassler dont le surnom était Adi (diminutif de son prénom). Il a ainsi choisi les premières syllabes de son prénom et nom pour créer le mot ADIDAS.

Il était le fils d’un fabricant de pantoufles de Bavière et a débuté l’expansion de son entreprise avec son frère Rudolf à partir de surplus de cuir de l’armée allemande. Après la deuxième guerre mondiale, Rudolf décida de voler de ses propres ailes en créant la marque PUMA (1948) à quelques kilomètres du siège d’Adidas (Aurach).

Dans les années 1969, le fils d’Adolf, prend les rênes de l’entreprise. Après son décès brutal en 1987, le groupe entre dans une phase de crise. En 1990, Adidas est au bord du gouffre. Les héritiers décident de vendre la société à un certain Bernard Tapie…

La société vaut actuellement près de dix milliards d’euros à la Bourse, et talonne Nike pour la position de leader mondial des équipements sportifs.

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Pourquoi La Vache qui rit ?

Le créateur de la vache qui rit est Léon Bel (Groupe Bel). Lors de la première guerre mondiale Léon Bel âgé de 36 ans est affecté au ravitaillement en Viande Fraîche (RVF). Chaque véhicule de cette unité était marqué d’une vache hilare (dessin de Benjamin Rabier). A la même époque, les véhicules allemands étaient quant à eux marqués par des Valkyries (vierges guerrières de la mythologie nordique). C’est ainsi que la vache française fut surnommée la «Wachkyrie  ».

Wachkyrie

En 1921, Léon Bel à la recherche d’un nom pour son fromage fondu, se souvient de ce nom d’emblème et dépose la marque « La vache qui rit ». En ce qui concerne le logo, il le rachète au dessinateur Benjamin Barbier pour 1.000 Francs et lui rajoute des boucles d’oreilles sur les conseils de sa femme.

La vache qui rit, Mini Babybel, Kiri, Leerdammer, Boursin sont les 5 marques cœur de Bel distribuées sur les 5 continents. Chaque jour, plus de 33 millions de portions de fromages Bel sont consommées dans le monde. Le groupe Bel est implanté dans 31 pays, ses produits sont commercialisés dans plus de 120 pays dans le monde et il compte près de 12.000 employés.

vache qui rit

Mikhaïl Kalachnikov

Mikhaïl Kalachnikov est né le 10 novembre 1919 dans une famille pauvre de Sibérie. Il entre dans l’armée à 19 ans et il réalise ses premières ébauches d’arme suite à une blessure de guerre (bataille de Briansk contre les allemands en 1941) qui l’oblige à rester alité. En 1947 il invente le AK47 (Avtomat Kalachnikova) tristement connu sous le nom de « Kalachnikov »; qui sera par la suite l’arme d’assaut la plus vendue au monde.

Mikhaïl Kalachnikov a aujourd’hui 94 ans et vit dans la pauvreté et l’indifférence. Il habite un appartement 3 pièces qui lui est fourni gratuitement par le gouvernement Russe en remerciement de ses bons services…

Citation de Mikhaïl Kalachnikov: « Ce sont les Allemands qui sont coupables du fait que je suis devenu un fabricant d’armes. Sinon, j’aurais construit des machines agricoles. (…) Si on me demande comment je peux dormir calmement sachant que mes armes ont tué des millions de gens, je réponds que je n’ai aucun problème de sommeil, ma conscience est nette. J’ai construit des armes pour défendre ma patrie. »

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Historique de MaxSea International

Brice Pryszo est né à Bayonne le 12 Mars 1952. Dès son plus jeune âge il découvre les joies de la navigation au Pays Basque.

Poussé par cette passion, il participe à la création de la filière d’architecte naval lors de son passage à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris (1972)

Dès la fin de ses études, de retour dans son pays basque natal, il débute sa carrière professionnelle et dessine alors ses premiers bateaux.

L’avènement de l’informatique personnelle lui fait prendre conscience dès 1984 du gigantesque potentiel technologique à venir. C’est tout naturellement qu’il décide de se lancer dans une nouvelle aventure professionnelle associant les secteurs de la Navigation Maritime et de l’Informatique ». Il crée ainsi, le 3 Janvier 1985, la société « Informatique et Mer ».

Les premiers investissements de la société furent l’achat du troisième Macintosh 128k vendu en France au printemps 1984 (en complément du Macintosh Lisa pour le développement). Ces machines révolutionnaires lui permettent de développer un premier prototype du logiciel MACSEA qui sera testé à bord de « Crédit Agricole » en 1985 puis très vite par Philippe Poupon et Eric Tabarly. Le logiciel MACSEA devient peu à peu une référence dans le secteur de la voile de haute compétition.

A la suite de ces premiers succès commerciaux, l’entreprise se tourne vers le secteur de la pêche professionnelle en travaillant en collaboration avec les pêcheurs du port d’Hendaye (notamment Mr Blanchot). Le défi consistant à installer un ordinateur sur un navire de pêche en 1986 était de taille ! « Informatique et Mer » réussit ce pari et poursuit naturellement sa croissance en équipant des navires de pêche à l’international (notamment en Europe du Nord).

Entre 1996 et 1999, étant donné l’hégémonie de Microsoft Windows dans le paysage informatique mondial, MACSEA abandonne la plateforme Mac et devient MaxSea.

« Informatique et Mer » deviendra « MaxSea International » en 2001 afin de se tourner encore plus vers l’étranger en se dotant d’un nom plus « exportable ».

En 2013, MaxSea revient à ses premiers amours Apple en lançant sa première Application MaxSea pour  IPAD.

L’aventure continue…

http://www.maxsea.com

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Le mot « Gadget »

L’étymologie du mot est incertaine. Il est en usage en anglais vers 1850 et attesté en 1886.

L’histoire la plus romanesque autour de ce mot raconte que « gadget » proviendrait en fait de l’entreprise française Gaget-Gauthier qui a réalisé des miniatures de la statue de la Liberté (1886) afin de promouvoir et de financer ce projet de Frédéric Auguste Bartholdi.
Le livre « Je me souviens du 17éme Arrondissement », de Sylvie Bonin (1994), précise pourtant (page78) que monsieur Gaget, l’un des directeurs de l’atelier parisien de construction de la Statue de la Liberté (rue de Chazelles, Paris 17), emporta au USA des répliques de la statue de 20 centimètres de hauteur. Le nom « Gaget » était écrit sur le socle. Les américains appellent la statue « gadget. »

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Source : Wikipedia