Le croissant n’est pas français…

L’origine du croissant remonte à la fin du 17e siècle en Autriche et plus particulièrement à Vienne (d’où le nom de viennoiseries).
Les boulangers viennois, debout avant le lever du soleil, donnèrent l’alerte lors d’une guerre opposant l’empire autrichien aux Ottomans (Turcs).
Afin de fêter leur participation dans cette victoire, ces mêmes patissiers concevèrent une viennoiserie en forme de croissant de lune rappelant le drapeau turc…
Le croissant arriva à Paris vers 1837 avec l’ouverture de la « Boulangerie Viennoise » par deux autrichiens (August Zang et Ernest Schwarzer).
De nombreux patissiers français les imitèrent et la France s’appropria progressivement ce met pour en faire un des symboles de sa gastronomie vers le début du XXe siècle.

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